En ce 21 février, c'est donc le 6ème jour de détention pour nos malheureux généraux.
Le gouvernement continue à maintenir qu'il fait son maximum, mais sur le terrain, les choses semblent figées.
Pire, on est sans nouvelle depuis quelques jours de l'avancée des négociations avec les ravisseurs. L'espoir d'une sortie de crise rapide s'étiole...
Et comme à son habitude la communication des dirigeants brille par son minimalisme. On comprendra bien qu'il faut au maximum éviter les fuites d'informations de peur que les ravisseurs prennent des dispositions en conséquence.